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Munich


Que dire de Munich?


C’est loin de Rouen ? Quand même ! J’veux dire, on a seulement fait 14h de bus pour y aller ! Mais sérieusement, dans la vie, j’aime ça faire de la route. Alors le retour de 10h à 3 sur le siège arrière d’une voiture d’une taille, heureusement, très acceptable, je ne l’ai pas trouvé pénible non plus (Et j’ai vu d’immenses champs de tournesol dans la campagne allemande).


Je me permets cependant une petite parenthèse. Il me semblait qu’il était répandu dans la populace comme « common sense » que lorsque tu prends un bus de nuit, tu module ton ton de voix si tu souhaites parler. Hé bien, j’avais tort ! Aux française de ce bus Paris – Munich jeudi le 29 août, gros manque de savoir vivre.


Revenons-en à Munich!


On est arrivé un vendredi vers 10h. On s’est dirigé vers notre hôtel, The Tent Munich. Vous devinerez sûrement qu’il s’agissait d’une tente ! Mais avez-vous déjà dormi dans une tente, sur un lit superposé (Couchette du haut for the « win » !!!), avec 200 autres personnes ? C’était spécial.


L’expérience me semble cependant enrichissante !


Nous avons ensuite visité le centre-ville, magasiné des habits traditionnels, abandonné à cause du prix (Pour y retourner le lendemain et accepter le prix), puis été retrouver nos collègues pharmaciens et québécois qu’on avait pas vu depuis au minimum le début de notre séjour en France. On a pu discuter de nos différents milieux et voir à quel point c’est différent pour chacun. Il a d’ailleurs fallu porter une attention particulière pour pas se décourager. On vit des stages très variés et il serait facile de ne considérer que les mauvais côtés de nos villes respectives.


Munichen (Comme elle s’appelle dans sa langue maternelle) est une belle ville (Je sais, je dis ça tout le temps). Pour une petite québécoise, c’était incroyable de simplement être en Allemagne ! Les écriteaux, pratiquement seulement en Allemand, entendre les gens parler autour (Oui, pareil comme les français font avec moi). J’ai eu ben gros du « fun » à tenter, je dis bien « tenter », de prononcer les stations de tramway. Tramway que nous avons pris 9 fois, avec un billet acheté au tout début, et qui n’a jamais été validé. Un billet au cas où. Je suis désolé Munich. Et je ne referai plus ça, on a vraiment poussé notre « luck » au max.


J’ai bien aimé l’architecture. Différente de celle de la France. Alors, vous verrez encore des photos d’édifices. C’est mon style photo, que voulez-vous !


Un petit souper en ville ce soir-là nous a donné un aperçu de ce qui nous attendait le lendemain à l’Oktoberfest! (Ok, tentative de souper plutôt, qui s’est terminée chez McDo où j’ai mangé des croquettes de cheddar. J’avais jamais vu ça et je suis tombée en amour. For real)


Et voilà, j’y arrive. L’Oktoberfest. Le célèbre !


Et il est important de préciser un point important : La bière n’est qu’une parcelle. Arrêtez de ne mentionner que la bière ! C’est une immense fête foraine, fête familiale, fête de bouffe ! J’ai fait un manège, mangé une crêpe et… Oui, bon, avec beaucoup de chance, fini dans une tente montée sur le banc avec un litre de bière dans les mains ! Ça chantait, ça dansait, les habits traditionnels sont si diversifiés ! Ça valait la peine de voir ça !


Je n’y ai été que 3-4h, dans mon habit trop beau qui fait juste bien à toutes les filles. Même chose pour celui des hommes ! Mais l’Oktoberfest, c’est de 10 à 20h et j’ai des amis qui y ont été pour toute cette durée. Chacun son style. Personnelle, j’ai eu ma dose !


Et on avait que 3 jours, alors ça s’est terminé vite!


J’ai l’impression d’avoir mis une punaise sur la carte du monde dans ma tête, coché un événement reconnu à travers le monde !


Ça valait définitivement les presque 30h de route.


XOXO

Megg


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