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La conduite

Aujourd’hui, mon professeur de chimie analytique (Ne venez pas me demander qu’est-ce que de la chimie analytique, les cours ne sont pas encore commencés) nous a amené à l’industrie pharmaceutique où nous ferons nos stages.


En voiture.


J’ai entendu via les gens, les BDs, VDM (Vie De Merde), que le code de la route est vraiment difficile à obtenir. Je trouvais ça étonnant, me questionnait.


Aujourd’hui, j’ai compris.


Les rues sont étroites. Si étroites que je mettrais ma main au feu que nos grosses voitures américaines ne passent pas. Si étroites que oui, ça devient réellement justifié de refermer le miroir qui dépasse lorsque stationné.


Les panneaux sont nombreux par endroit, au point d’en devenir mêlant, et manquants à d’autres, si bien qu’il est difficile de savoir où rouler et comment.


Les routes sont croches, zigzagantes (N’espérez pas de beau quadrillé) et souvent à sens unique (Vraiment, mais vraiment pire que dans le Vieux-Québec).


Les gens conduisent vite, carré et avec beaucoup d’impatience. Je rappelle d’ailleurs l’étroitesse des chemins. Je me demande comment ils évitent les accrochages et les face-à-face.


Naturellement, les voitures sont majoritairement manuelles. Alors, beaucoup de mes comparses québécois sont incapables de conduire. De toute façon, même moi et ma capacité à conduire manuel sans même y réfléchir, je crois que je m’évanouirais de stress.


Il est à accorder, cependant, que les voies pour les transports en commun sont généralement bien délimitées. Mais c’est tout.


D’un œil de canadienne, c’est le bordel!


XOXO

Megg


P.S.: Je vous joins une magnifique Renautl Mégane en photo


pour égayer vos yeux! (Elle est pas si belle que ça, mais elle a le même nom que moi, alors..)


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